Juliet + In a world that travels too fast

Juliet Johnson

« Do you think we're Worth saving? »

Nom : Johnson Prénom : Juliet Date/lieu de naissance : 30.08.1990, Lorwels Age : 26 ans Nationalité/origines : anglaise Statut civil : célibataire Orientation sexuelle : hétérosexuelle Métier/études : journaliste Situation financière : moyenne Traits de caractères : têtue + maligne + travailleuse + souriante + rancunière + fidèle + loyale + amicale + réservée + protectrice + timide + déterminée Groupe : Outsider Avatar : Elizabeth Olsen Crédits : écrire ici

Pour quelles raisons n'as-tu toujours pas succombé à NERVE ? Pour quelle raison l'aurais-je fait? Par instants, j'ai l'impression d'être la seule à voir les dérives de ce jeu, tout le mal que cela peut causer. Tous ces gens qui succombent à la tentation du gain décident finalement de volontairement faire du mal à autrui, parce que finalement chacune de ces farces fait une victime. C'était ce qui me dépassait le plus, honnêtement. Se mettre en danger et nuire à autrui, tout ça pour quoi, l'argent? La gloire? Non, décidément, ce n'était pas pour moi! Que penses-tu des doutes planant sur le jeu ? Encore une fois, je me demande comment il est possible que plus de gens ne les aient pas? D'abord, se gausser du malheur des autres, souhaiter créer davantage de victimes, rechercher l'humiliation publique. Qu'y avait-il de plus décadent depuis l'époque des jeux romains? Du pain et du vin, est-ce vraiment ce à quoi notre société est réduite? Je suis peut-être un peu coincée, je suis peut-être trop vieux jeu pour notre société hyper connectée et transparente, mais je ne pense pas que la transparence signifie l'exhibitionnisme et c'est ce à quoi nous sommes réduits. Deuxièmement, ce que je trouve encore plus déplorable est également le fait qu'avec des jeux pareils, on vise les gens les plus faibles de la société, ceux qui peinent à voir leur avenir autrement et qui ont perdu leurs repères, on pousse les personnes qui sont les moins solides sur leurs pieds à prendre des risques inconsidérés qu'ils risquent de regretter après. Enfin, mais c'est peut-être ce qui me gêne le plus, quel message envoie-t-on aux générations futures? Dans un État de droit où tout le monde se moque du droit et des conventions, que reste-t-il pour le faire tenir? Des enfants qui naîtraient avec ce système de valeurs penseront que tout est permis. Avec le temps, mes chers, on sombre alors dans l'anarchie.

Pseudo : Malow Âge : 26 ans Fréquence de connexion : 4/7 Avis sur le forum Il est très très beau et le concept original!! Comment l'avez-vous connu : Elly Strauss Autre chose :

Ambition is not a dirty word

« A woman with a voice is by definition a strong woman »

Anglaise pur souche, mon teint pâle et mes cheveux à la couleur indéterminée le montrent bien. Je suis née il y a de cela bientôt 26 ans dans la petite ville de Lowlers, dans laquelle mes parents se sont dirigés pour offrir une petite vie tranquille à leurs enfants, deux jumeaux nommés William et Juliet. Oui, Juliet, c'est moi. Eux qui souhaitaient avoir deux enfants avec un certain écart d'âge s'étaient retrouvés avec deux enfants pour le prix d'un et décidèrent d'attendre quelques années. Mais finalement, la vie reprit ses droits et ils oublièrent l'idée du petit frère pendant plusieurs années. Sept ans exactement. Jusqu'à ce que ma mère tombe enceinte de celui qui est à présent mon petit frère, Nolan. Mon cadre familial était agréable. J'ai grandi en étant très proche de mon petit frère et mes parents nous montraient beaucoup d'amour et, disons le franchement, beaucoup de temps. Mon père travaillait dans la banque du coin alors que ma mère était dentiste. Quand je dis que nous avions une situation confortable et que tout allait bien, je le pense sincèrement. J'ai été heureuse.

Depuis toute petite, je n'ai jamais été la plus folle de la classe. Ou la plus joyeuse. Ou la plus bruyante. En fait, depuis toute petite, je suis celle dont on se moque parce qu'elle est trop studieuse, parce qu'elle est trop travailleuse et perfectionniste. Même mon jumeau, William, se moquait sans arrêt de moi. Mais j'avais en moi quelque chose, une sorte de flamme qui me poussait à en vouloir toujours plus. J'aimais apprendre tout sur tout, j'aimais me passionner pour des sujets qui étaient uniquement croiser mon chemin de vie et disparaître à jamais. J'en devenais la spécialiste la plus pointue à mon niveau pendant un certain temps. Qu'on s'entende bien, parfois, j'avais 7 ou 8 ans, alors quand je dis spécialiste, il faut remettre les choses à leur échelle. Déjà, j'avais appris à lire toute seule à l'âge de trois ans, alors cette soif d'apprendre m'était venue très jeune. Mon jumeau aussi, mais lui le cachait beaucoup mieux. On pouvait discuter de tout ce qu'on voulait, mais uniquement à la maison. À l'école, il était beaucoup trop occupé pour être le beau gosse sportif que tout le monde adorait. Tant mieux, si cela lui convenait. Moi je trouvais sa popularité épuisante. Du coup, je me contentais de rester dans mon coin, être la meilleure de la classe, de l'école, n'obtenant jamais aucune mauvaise note dans le primaire, parce que non seulement j'étais intelligente, mais en plus je travaillais bien. Je sais, je vous semble ennuyeuse, mais très honnêtement, je ne m'en suis jamais souciée. J'avais déjà en moi cette sorte d'arrogance qui me disait que de toutes façons, j'irais plus loin que les autres. Et ce fut le cas.

De mon temps libre, je faisais du karaté avec mon frère jumeau et j'adorais jouer avec mon petit frère. En fait, depuis sa naissance, Nolan était la prunelle de mes yeux, le seul que je voyais et le centre de toute ma vie. Nos sept années de différences faisaient que j'adorais jouer à la petite maman avec lui et quand je ne bouquinais pas, je m'occupais de lui et nous jouions. Nous étions si proches pendant toute mon enfance, puis mon adolescence. Nous étions soudés et c'était une belle période.

Je continuais à travailler durement et les efforts payaient leurs fruits. Je n'étais pas celle qui avait le plus d'amis, mais j'étais celle qui avait les meilleures notes. Et cela m'ouvrit la voie à la prestigieuse université de Cardiff, tous frais payés, au grand bonheur de mes parents. Cela était d'autant plus un bonheur que mon frère se frayait tranquillement son bout de chemin pour les grandes ligues du football.

Je choisis rapidement d'étudier le journalisme. Au grand désespoir de mes parents qui pensaient que cette branche ne mènerait nulle part, j'avais décidé que c'était la seule manière pour toujours connaître autre chose, pour toujours découvrir, bouger, enquêter. J'aimais relier les divers éléments d'un phénomène, j'aimais apprendre sur tout. Plus que tout, et c'était peut-être ma naïveté, je pensais que le journalisme me permettrait de laisser une empreinte positive sur le monde, à ma manière. Je pensais qu'informer la population l'aiderait à faire les bons choix et qu'en instruisant, la société n'en serait que meilleure. Je partais à l'Université avec des rêves plein la tête, persuadée que je pourrais amener du bon dans le monde.

En fait, William et moi étions les enfants parfaits. Différents, mais complémentaires et simplement brillants, sans paraître prétentieuse. C'était peut-être le problème, car les attentes que mes parents placèrent sur Nolan étaient injustes... On ne devrait jamais attendre d'un enfant à ce qu'il soit autre chose que lui-même...

Pendant que j'étais à Cardiff et que William se lançait dans sa carrière professionnelle de footballeur, Nolan partit à la dérive. C'était trop difficile de vivre dans l'ombre des jumeaux Johnson, dans la même école qu'ils avaient fréquentés et dont les professeurs portaient encore le souvenir. Du moins, c'est ce que nous avons réalisé après coup. Car la dérive fut lente, on ne la vit pas venir. C'étaient des bêtises au début, des petites heures d'arrêt. Puis la suspension, puis le renvoi. Puis un adolescent au chômage qui cherche ses repères, puis qui se perd sur internet, à faire des jeux et fumer toute la journée, qui commet des petits délits juste pour remplir ses jours.

Dès que je revins de Cardiff, j'essayai pourtant de percer sa carapace, mais rien n'y faisait. C'était comme s'il détestait ce que j'étais devenue, comme s'il m'en voulait de l'avoir abandonné et qu'en même temps il aurait préféré que je n'eusse jamais existé. Mais je n'abandonnai pas et, continuant ma vie avec un poste fixe comme journaliste pour le journal local à 70% et un 30% complété par le journalisme d'investigation, je construisis ma carrière.

Et puis le jeu arriva. Quelle saloperie. C'était fait pour que Nolan tombe dans le panneau. Adolescent en mal d'amour avec de gros problèmes de confiance en soi, comment trouver d'autres moyens de se revaloriser alors qu'un jeu vous offrait le plateau rêvé? Et vous envoyait aussi à la case prison sans passer par la case départ. En même temps, le voyeur lui avait demandé d'entrer dans un centre commercial et le saccager entièrement. Et mon petit frère n'avait pas les moyens de tout payer. Et il était prêt à tout pour attirer l'attention. À tout... 13 mois de prison. Ce n'était pas uniquement ce saccage, mais tous les autres délits qu'il avait commis dans le jeu. Il avait été attrapé et il devait payer pour les nombreuses infractions commises. Et il payait le prix fort.

J'en voulais au jeu. J'aurais pu en vouloir à mes parents pour avoir été trop durs, à Nolan pour se sentir ainsi jugé alors que nous l'aimions de toute manière, à William parce qu'il brillait par son absence depuis que sa carrière décollait en Premier League, mais j'en voulais au jeu. C'était une chose que d'avoir une faiblesse, mais le jeu avait décidé de jouer sur cette faiblesse pour offrir du spectacle. On avait atteint le pire des stades de la téléréalité et cela avait atteint ma famille. Je n'avais pas l'intention de laisser les choses se passer ainsi, alors je décidai de m'attaquer au jeu.

Mon travail me permet d'avoir un accès facilité à bien des informations et d'interviewer diverses personnes et des joueurs de tous les horizons. Je compte créer une association anti-Nerve et rassembler assez de gens pour détruire ce jeu. On ne touchait pas à ma famille sans en sortir impuni.

BIENVENUE TOI

elizabeth olsen, cette beauté
bienvenuuue ici !
hâte d'en apprendre plus sur ton personnage

Bienvenue parmi nous officiellement ma belle Bon courage pour terminer ta fiche de présentation et n'hésite pas si tu as des questions !

Bienvenue ma jolie & bon courage pour ta fiche

Bienvenue Juliet et bon courage pour ta fiche

Marchi à tous pour l'accueil

(et maintenant que je sais qui tu es je te préviens, il va nous falloir un lien. Du coup j'ai encore plus hâte de lire ta fiche)

BIENVENUE ! ♥

TOI
Bienvenue sur le forum beauté des îles Bon courage pour ta fiche
Je viendrai remplir tes piges une fois que tu seras validée

BELLE ! Bienvenue

Lizzieeeeeeee ***** Nous faut trop un lien !

Bienvenue !

Ramiiiii Of course!!!

Et merci à vous tous pour l'accueil!!

Félicitations

Elizabeth Olsen est décidément un très bon choix d'avatar
Je te souhaite la bienvenue parmi nous et tout est ordre ma jolie... alors amuses-toi!

C'est donc avec impatience que j'ai hâte de voir ton personnage évoluer en RP. Il est ultra important de remplir correctement ton profil pour que NERVE te donne des défis. Tu peux dès maintenant aller poster ta fiche de liens ici et ouvrir ton compte NERVE ici si c'est nécessaire. Si tu as des besoins particuliers, tu peux aussi poster des scénarios ou des préliens ici afin de trouver des petits camarades de jeu ainsi que demander un poste, un logement par ici. J'espère que tu passeras un bon moment parmi nous et n'hésite pas à nous contacter si tu as un souci   Nous avons aussi le plaisir de te dire que la première intrigue a été postée et tu peux dès à présent y prendre part en allant la lire ici. Si tu as du mal à te retrouver sur le forum, voici la liste des liens à visiter qui pourra t'aider.