| | I feel the streets are all pulling me down | |
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| Sujet: I feel the streets are all pulling me down Mar 6 Sep - 19:07 | |
| Samaël Talèh Emerson « c'est pas toi qui tires les ficelles, c'est moi » Nom : On s'appelle Emerson, c'est le patronyme de la maisonnée (qui a cramé). Je ne suis pas fan, mais honnêtement, c'est quoi un nom de famille ? Surtout que maintenant que les vieux ont cramé, faut pas compter sur toi pour refaire la lignée, ni sur moi d'ailleurs. Prénom : Tu t'appelles Samaël. Je l'aime bien, ce prénom, ça me correspond. C'est comme si nos parents savaient à l'avance que je serai là, dans un petit coin de ta tête, moi l'ange de la mort en personne. Talèh, c'est un surnom que je t'ai donné, ça signifie l'agneau qui boit encore le lait de sa mère, et même si t'as plus vraiment de mère, je trouve que ça te correspond assez. Date/lieu de naissance : C'est le 31 octobre que t'as sorti ta tête du ventre de ta mère. Tu vois, j'étais comme une destinée pour toi, c'était même écrit dans les étoiles, sur la ligne chronologique du temps, dans les dates du calendrier. Ce jour où les morts se joignent aux vivants, on est né tous les deux, on a hurlé avec notre petite voix de nouveau-né, toi pour la vie, moi pour la mort. T'as toujours aimé l’Angleterre, c'est là que t'as vu le jour, mais ce pays a jamais voulu de nous, surtout pas la bourgade dont t'as déjà oublié le nom et où t'as grandi. Age : Bon, notre temps écoulé sur cette planète équivaut à vingt quatre années de silence pour moi, et vingt quatre années de pleurnicherie pour toi. Le résultat étant plutôt mitigé, j'espère pouvoir pimenter le temps qui nous reste, aussi infime soit-il. Nationalité/origines : Englishman, gentleman, teaman, tous ces trucs que tu raffoles, c'est dans nos veines, et je vais te le dire honnêtement, mais ton faux accent (que tu peines à garder authentique alors que tu l'as perdu depuis le temps) est à pleurer. Statut civil : La bague au doigt, je peux te l'assurer, moi vivant, jamais tu la passeras. Plutôt crever de me voir enchainé à je ne sais quel autre être humain perfide et ennuyeux. Pour l'instant, j'aime bien notre célibat. Orientation sexuelle : Moi, perso, j'aime bien les hommes. Je sais pas pourquoi, peut-être parce qu'il y a un côté interdit, et surtout, totalement opposé à ton orientation sexuelle qui se résume à cette fichue gamine, tu ne vois que par elle, tandis qu'elle me sort par les yeux. Métier/études : J'crois que dans un coin de ta tête, tu voulais faire un truc comme poète, franchement t'es nul, mais t'as toujours aimé l'art, ou l'histoire. Bon, bah on a fini dealer, mais c'est pas plus mal. Situation financière : Si fouiller dans tous les distributeurs à la recherche de monnaie était une situation financière, elle serait pour nous. On a les vides de nos poches qui ont des trous, si vous voyez ce que je veux dire. Je sais pas comment les dealers de la télé ils font pour s'en mettre plein les poches, mais on s'en sortirait sûrement mieux si t’arrêtais de faire des prix à ta belle. Traits de caractères : T'es comme le torrent d'une montagne, puissant, on peut t'entendre gronder à des kilomètres, tandis que ton eau s'écoule sans arrêt, aussi limpide que ton âme, mais tu connais la douceur comme son eau qui glisse sur la berge. Quiconque passe la main dans ton torrent ne peut que te voir lui filer entre les doigts. T'es comme le nuage que les gens rêvent d'attraper, de deviner la forme, d'en saisir les contours. T'es ce monstre que les gens veulent voir en toi, t'es devenu ce personnage de tableau que les gens rêvent de pouvoir rayer d'un coup de peinture. T'es cette main qui veut posséder l'impossible. T'es ce cœur qui bat à tout rompre pour oublier les morosités de la vie, pour m'oublier moi, pour oublier tes rêves. T'es cette ombre dans la nuit, tandis qu'aucune lumière n'éclaire. T'es cette rage qui gronde comme le tonnerre, qui frappe le sol avec haine, mais qui rêve de pouvoir atteindre ne serait-ce qu'une cible, quelqu'un, juste une seconde, juste le temps de dire "moi aussi je suis vivant, moi aussi je vis, moi aussi je veux vivre". Groupe : On est tous les deux joueurs, ça doit être notre unique point commun, et ça te plaît, parce que pendant ce moment, tu peux oublier que je prends le contrôle, tu as l'impression d'être seul dans ta tête parce que nous partageons les mêmes pensées, les mêmes gestes, les mêmes désirs, juste pendant ce petit instant. Niveau : Mine de rien, t'es plutôt bon, parce que grâce à mon manque total de principe et mon insouciance, on forme une bonne équipe. T'es plus un débutant et les défis s'enchaînent assez vite, j'attends celui qui nous posera une colle avec impatience. Avatar : Evan Peters Crédits : tumblr | Depuis quand es-tu sur NERVE ? Qu'est-ce qui t'a poussé à t'inscrire au jeu ? Au début, lorsque le jeu est sorti, tu ne voulais clairement pas y jouer. Tu y voyais une manière malsaine de contrôler la vie des gens, un peu ce que je te faisais de temps en temps. Mais la curiosité, mélangée à ma conviction, a fini par prendre le dessus, d'autant plus que tu désirais ardemment quelque chose, à l'époque. Et ce quelque chose, ils t'ont proposé de te l'offrir sur un plateau d'argent. Elle. Celle que tu cherchais depuis des années, ils l'ont trouvé pour toi, ils t'ont conduit à elle, et tandis que je savourais ma victoire de t'avoir fait participer à ce jeu, tu es devenu accro, comme tous les autres. Cela fait presque un an que tu t'accroches à ce bien-être, où tu crois être seul maître de ton corps, alors que c'est seulement que nous avons les mêmes objectifs, et que c'est à peine si tu te rends compte que ce jeu te fait sombrer petit à petit dans mes filets.
Quels seraient les gains que tu aimerais remporter par-dessus tout ? A part le premier lot, avec lequel ils ont déjà fait fort, tes attentes ont ensuite grandement baissé. Tu ne désirais rien d'autre de plus qu'elle. Les lots varient, tandis que je sème quelques pistes pour pouvoir récupérer des choses intéressantes, comme un revolver rare d'origine du 18ème, un couteau à dents de combat, un zip en bronze, toi, tu te contentes de livres en édition limitée de John Keats, signés de sa main, ou de reproduction de tes tableaux préférés de Caravage. Tu cibles l'art tandis que je cible les armes, les choses illégales. Ce qui me donnerait le plus envie, là, maintenant ? Un fusil à pompe. Toi ? De quoi offrir le bonheur à ta demoiselle en détresse.
Que penses-tu des doutes planant sur le jeu ? Tu ne les vois pas, tu ne les entends pas, tu les ignores. S'il y a des doutes sur le jeu, tu quittes la conversation (si déjà il y en a une à la base, parce que t'es pas du genre loquace). Peu importe ce que les gens disent sur ce jeu, tu ne joues pas pour les gains, tu y joues parce que tu crois que ce jeu peut te soigner (t'es vraiment bête parfois...). |
Pseudo : spf, un jour j'me faisais appeler Disturb, mais ça date Âge : j'ai 23 ans, et j'les ai aujourd'hui, y'a la vieillesse qui me tue à petit feu Fréquence de connexion : tous les jours Avis sur le forum j'suis tentée de dire caca pourri, mais la réputation de mon humour n'étant pas encore répandue ici, j'vais dire trop de la balle c'est pour ça que j'suis là Comment l'avez-vous connu : Bazzart ! Autre chose : j'espère ne pas me planter avec ce perso
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| Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down Mar 6 Sep - 19:07 | |
| do it. feel it. break it. « you don't have my number we don't need eatch other now » | |
- Tu parles pas, pourquoi ? dit le premier. - T'as perdu ta langue ? demande un autre. - Hé, le blondinet à sa maman, il va faire dans son froc ? ricane un dernier. La ferme. Tu le penses, mais pas assez fort. Ouais, ces idiots, ils sont pas télépathes. Si tu leur parles dans ta tête, ils vont pas te répondre comme moi je le fais. J'ai envie de les baffer. Je comprends pas pourquoi tu le fais pas. On s'est déjà battu plein de fois, parce que ces idiots finissent toujours par te pousser. Pourquoi tu commences pas le combat, pour une fois ? Fous-lui une bonne beigne dans sa sale tête de crâneur, ça lui fera les pieds. Pète-lui le nez, au passage, ça lui évitera de se pavaner devant ses parents. J'ai la rage, mais tu bouges pas. - Hé, répond quand on te parle ! s'énerve l'un. - Ouais, ça s'appelle la politesse, petit merdeux ! renchérit un autre.
Tu baisses les yeux. C'est le pompon mon gars. Tu me fous trop la honte, j'te jure. Si tu te mets à chialer, je te le fais payer, je te le promets, Talèh. T'as tes petits cheveux blonds qui tombent devant tes yeux, t'imagines qu'ils vont te protéger. T'as beau être proche de la majorité, tu te comportes encore comme un gamin. Tu penses que tout ce que tu ne vois pas ne peut pas t'atteindre. Pourtant, avec le temps, tu aurais dû comprendre que c'est justement ce qui se cache dans l'ombre qui est le plus dangereux. - T'sais qu'il a tué ses parents ? demande, hésitant, l'un des garçons. - Quoi, c'est un meurtrier ? Déconne pas, c'est surtout une tapette ! s'exclame le chef de bande.
Une tapette ? Tu crois qu'il veut dire tapette, dans le sens, pédé ? Hein, Talèh ? Pourquoi tu réponds pas aujourd'hui ? Dis-moi de la fermer, vu que je suis la seule personne à laquelle tu oses le dire. Moi, j'aurais bien voulu le dire plus souvent à tes parents, surtout. M'enfin, ils ont fini par comprendre, je crois. Dis, tu sais, ils nous traitent de tapette, mais en vrai, le petit bourgeois à son papa et sa maman, là, je le vois bien à genoux devant moi. T'en penses quoi, Talèh ? LA FERME ! Tout doux, mon pote, je déconne ! Ou pas. Bon, et si tu t'énervais sur eux ? Regarde, ils commencent à nous pousser. Tu serres les dents, mais tu dis rien. Tes poings sont enfoncés dans tes poches, je suis le fil de tes pensées. Tu penses à des cheveux de feu, à un regard hypnotisant, ça a un effet de thérapie sur toi. C'est plus rassurant que tous les discours à deux balles des psychologues qui ont « essayé » de te soigner. Je ne me souviens plus très bien de cette époque, j'étais tapi dans l'ombre, mais si je suis encore là, c'est qu'ils n'ont pas cherché au bond endroit. Tu en as vu beaucoup, c'est vrai. Au début, tu te pliais à l'exigence de tes parents. Après, tu as pleuré. Tu ne voulais plus y aller, tu ne voulais pas répondre à leurs questions, tu restais muet comme une tombe, mais personne ne comprenait pourquoi. Moi, je le sais, je le sens, parce que cette idée est toujours là, dans ton esprit. Tu as peur que personne ne te comprenne mieux que moi. En même temps, je suis toi, je fais parti de toi, je suis né de tes cendres, alors forcément que je te connais mieux que quiconque. Et ça, tu le sais, c'est pour ça que tu as continué de perdre pied. Tu as peur de ne jamais être aimé, de ne jamais avoir aucune valeur. Et les psychologues, ils avaient juste peur que tu ne deviennes un psychopathe. Tu le voyais dans leurs yeux, ils t'étudiaient, ils cherchaient les mauvais signes, ceux d'un tueur, d'un maniaque. Mais tu n'es pas comme ça. C'est moi qui le suis, mais je n'étais pas encore visible. T'aimerais juste trouver une petite lumière dans ta pénombre, un petit coin de paradis où te reposer. Juste deux minutes, ça t'irait, avant de te laisser crever. T'es pas quelqu'un avec beaucoup d'attente. T'as pas confiance en la vie, tu sais qu'elle te donnera pas grand chose. Tu sais que tu vas bientôt crever, d'une façon ou d'une autre, si c'est pas à cause de moi, ça sera à cause de toi. Tu vas craquer, je le sais, c'est pour ça que je te ménage. Je me souviens que tu étais content quand tes parents t'ont annoncé qu'ils allaient avoir un autre enfant. En vrai, tu pensais qu'ils mettraient au monde un autre petit monstre comme toi, un petit être qui te comprendrait. Mais non, ils ont mis au monde un ange. Un bébé parfait, qui est devenu encore plus parfait en grandissant, et le marginal que tu étais, tes parents en voulaient plus. Tu fais glisser l'ongle de ton pouce contre ton index, peu à peu, il s'enfonce dans ta chair. Ça fait mal. Tu sais ce que ça fait de donner un coup de poing. Ça fait mal aussi. Tu fermes les yeux parce que tu penses que ça va les arrêter, tu penses que comme ça, tu n'entendras plus la haine du monde à tes oreilles. Frappe-le. Non.Si. Non.Si. J'ai gagné.
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| | | Crédits : (c) eylika Célébrité : Chloe Norgaard Messages : 786 Personnalités : Que moi ♥ Particularités :
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Strengthened by love. Présence RP : J'ai eu les yeux plus gros que le ventre. Je suis : un voyeur qui voudrait épier
| | | | Crédits : Catwoman / tumblr Célébrité : Evan Peters Messages : 93 Particularités :
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| | | | Crédits : blondie Célébrité : Stephen amell Messages : 148 Personnalités : Adam Particularités : - etait fiancé à une bombe
- a trompé sa fiancé avec une autre et essaye de recommencer
- s'est fait tabasser il ya quelques années et il a encore honte de le dire aujourd'hui et il déteste qu'on le touche.
- il perdu un bébé
- il adore son job et déteste le club de strip ( il y va que pour ses clients)
- son partenaire veut exploiter le filon qu'est nerve, il ne veut pas. Présence RP : Limitée, me mp. Je suis : en marge de la folie furieuse de NERVE
| Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down Mar 6 Sep - 19:23 | |
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| | | Crédits : paper.moon & tumblr Célébrité : Kendall Jenner Messages : 261 Particularités : Présence RP : 0/4 : overbookée Je suis : en marge de la folie furieuse de NERVE
| | | | Crédits : Cranberry / tumblr Célébrité : Hottie Watson Messages : 155 Personnalités : Solitaire Particularités :
«i don't pay attention to the world ending,
it had ended for me
many times
and began again in the morning.. » Présence RP : régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down Mar 6 Sep - 20:24 | |
| damn ce début de fiche, il est parfaiiit j'aime tellement le fait que tu laisses la parole à son "double" et cette plume, juste magique je suis trop heureuse, c'est clair, t'es le parfait samaël concernant l'âge, aucun soucis pour moi, c'est vrai que je n'avais pas pensé à ce souci écart de l'âge entre perso/célébrité tout ça pour dire, BIENVENUUUUUE ! j'ai trop trop hâte de lire le reste de ta fiche, ayant déjà pris un plaisir fou à lire ce début & toujours, si tu as des questions ou autre, tu sais où me trouver (loveee ) |
| | | Crédits : Catwoman / tumblr Célébrité : Evan Peters Messages : 93 Particularités :
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| Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down Mar 6 Sep - 21:17 | |
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| | | | | | | Crédits : Catwoman / tumblr Célébrité : Evan Peters Messages : 93 Particularités :
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| | | | Crédits : Cranberry / tumblr Célébrité : Hottie Watson Messages : 155 Personnalités : Solitaire Particularités :
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and began again in the morning.. » Présence RP : régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down Mar 6 Sep - 23:07 | |
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| | | | Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down Mer 7 Sep - 10:44 | |
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| | | Crédits : Catwoman / tumblr Célébrité : Evan Peters Messages : 93 Particularités :
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| Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down Mer 7 Sep - 11:34 | |
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| | | | Sujet: Re: I feel the streets are all pulling me down | |
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