konstantin - I know it for a long time

Konstantin Hanz Strauss

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Nom : Strauss, Strauss. Un nom au son simple, mais qui complique un peu tout par moment. Avec son son allemand, ce n'est pas facile, non. Prénom : On me nomme Konstantin, parfois prononcé : Con-stan-tine. Plusieurs arrive à me nommer Konstan ou encore Konny, mais le prénom auquel je me retournerais assez facilement c'est Hansel, nom dérivé de mon second prénom, Hanz, surnom utilisé longtemps sur le web. Date/lieu de naissance : 7 février 1991, Cologne, Allemagne. Age : Je suis âgé de vingt-cinq ans Nationalité/origines : Je suis Anglo-Allemand. Statut civil : Je suis en couple, mais je vais l'avoué que c'est quelque chose d'assez complexe enter nous depuis un moment. Orientation sexuelle : hétérosexuel Métier/études : homme de main et chauffeur d'un grand ponte. Situation financière : aisé. Traits de caractères : Sociopathe, j'en ai l'air, je n'ai jamais connu de diagnostique, mais j'agis comme tel. - Observateur, avant même d'agir, de faire quoi que ce soit, je reste à observer, je vois pratiquement tout. - Mélomane, c'est un peu étonnant je sais, mais la musique m'a toujours passionné. - Loyal, peu importe ce qui arrivera, je resterais fidèle, loyal à ma soeur, à ceux qui le mérite et ceux qui m'emploi. - Calculateur, je pense toujours aux conséquences, aux avantages et je réussis bien à calculer les possibilités de chaque situation. - Instable, j'ai un caractère plutôt changeant, mes humeurs sautent d'un côté puis de l'autre en pratique constance. - Perfectionniste, sur tout ce que je fais, toutes actes que je pose doit être à la perfection. - Protecteur, envers tout le monde, mais surtout envers ma soeur, même si un froid aussi énorme enter nous. - Professionnel, ça le dit bien. Groupe : outsiders Avatar : Bill Skarsgard Crédits : tumblr.

Pour quelles raisons n'as-tu toujours pas succombé à NERVE ? Pourquoi ? On me pose vraiment la question ? Je connais ce genre de jeu, j'y a joué par le passé et ça m'a valu une belle déchéance et je n'ai pas envie d''y retomber, donc on oubli ce jeu tout simplement. Que penses-tu des doutes planant sur le jeu ? Les doutes ? Les doutes des autres je m'en fiche. Je ne me préoccupe pas de ce jeu, je me préoccupe seulement de ma soeur. Je n'ai pas envie qu'elle se foute dans la merde ! Je n'aime pas l'idée que des gens, d'autres gens, puisse encore s'en prendre à elle, à nous.

Pseudo : imaginarium, RIUM sous le prénom de Andie Âge : vingt-trois ans Fréquence de connexion : au minimum 3/7 jours Avis sur le forum J'aime pas le rose, mais il se tient bien    Comment l'avez-vous connu : Je me fais harcelé par Callahan depuis qu'elle s'est inscrite haha ! Autre chose : Carabunga ?

I'TS GONNA BE A BLOOD BATH

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Si on revenait assez loin en arrière, on se retrouverait à Cologne, en Allemagne. J'étais seul à l'époque, un enfant unique de parents plutôt absent, détaché de moi. Pauvre gamin abandonné, mais entouré. Pourtant, j'étais naïf, naïf de les voir à mes côtés tout ce que je voulais c'était un peu d'attention. Qu'ils me voient, qui s'occupe de moi et pourtant je restais toujours invisible. Invisible aux yeux de mes propres parents. Pathétique. J'ai commencé jeune à m’intéresser aux ordinateurs, j'ai même commencé sur l'Ordinateur de mon père, en pleine nuit. Bon d'accord, je n'ai pas commencé à quatre ans, ma soeur est arrivé le jour de mes quatre ans, donc il faut dire que ma relation avec les ordinateurs n'était qu'au début. Puis nous avions quitté l'Allemagne pour Cologne en Angleterre. Je connaissais les bases, mais j'étais toujours à moitié réveillé la nuit. Ma petite soeur, ce petit miracle. Ce manque d'attention que j'avais développé, je n'avais pas envie qu'elle le vive. Elle était devenue plus importante que moi. Plus elle grandissait, plus elle était attachante. J'espérais qu'elle ne voit pas l'absence des parents de la même façon que je la voyais. Je faisais tout pour avoir leur attention, leur montrer ce dont j'étais capable. Je m'étais attaché à travers les années aux deux plans familiales. L'anatomie du corps, oui c'était intéressant, mais moins pratique que l'informatique. Comment pratiquer l'autopsie d'un corps quand on est qu'un enfant. J'ai abandonné tout de même assez tôt d'attirer l'attention de ma mère me rabattant sur celle de mon père.

Pour plusieurs, le collège est synonyme d'amitiés et de plaisir, mais pour moi, ce fut toute autre chose. Si je pouvais effacer une partie de ma vie, ce serait sûrement celle-là. Oui j'ai vécu pire, mais je crois bien que sans cette période-là, je ne serais pas là où j'en suis aujourd'hui et sûrement qu'elle non plus. Je n'ai jamais vraiment eu de chance à l'école. J'avais beau être quelqu'un de très intelligent et que mes notes allaient bien, le reste n'allait pas. Attaqué de tout bord tout côté par les autres j'ai fini par péter un câble. J'ai été déscolarisé parce que la majorité de l'école était conté moi. Non, aucun coup physique n'avait vraiment été donné, mais sur le plan psychologique, j'étais pris sous de multiples assauts. Ma soeur ignore ce qui s'est vraiment passé, ce qui a poussé ma déscolarisation. Je n'en suis pas très fier, mais je suis bien satisfait de ce choix, de cet acte. Je me suis retrouvé à la maison à quatorze ans. Enfin dans un petit monde de paix, dans un endroit tranquille. Derrière cet écran à n'endurer aucun désagrément des autres.

Accroché, comme si j'avais fusionné, je suis tombé sur ce jeu, Chair de Poule. Pourquoi est-ce que j'en suis devenu accroc ? J'avais besoin d'action, d'adrénaline peut-être. Dire exactement pourquoi reviendrait à mentir, mais je ne voyais plus ma vie sans ce jeu. Oui, je pouvais rester devant mon ordinateur pendant des heures, des jours mêmes, sans manger et pourtant je ne manquais jamais de rien. Je ne sentais même plus mon corps me réclamer quoi que ce soit, tout ce que je voulais c'était ce jeu et ces sensations qu'il me procurait. Puis je n'étais pas seule, ma soeur s'était retrouvé dans le même bateau. Hansel et Gretel, le duo-choc, les inséparables. J'avais toujours veillé sur ma soeur et même encore aujourd'hui, je le ferai, peu importe ce qu'elle dira. Je me souviens, parmi les premières missions qui m'avait été donné, c'était simple stupide, mais par la même occasion, totalement illégale. Plusieurs connaissaient la boutique de pantins au centre-ville, cette boutique qui faisait peur à tout le monde, comme si à chaque fois que quelqu'un disparaissait ou mourait, on retrouvait une de ses horreurs à leur effigie. C'était à donner la chair de poule ! Je les ai fait flamber. La boutique en entier. Sans réelles émotions. Je l'ai fait c'est tout. J'appréciais moins lorsque du mal arrivait à ma soeur, mais c'était le jeu. J'en ai vu moi aussi, mais ce n'était rien de comparable à voir ma soeur encaisser.

Puis y'a eu cette mission. Cette mission qui semblait si inoffensive à mes yeux. Pourtant, on disait bien que c'était dangereux, mais je n'imaginais rien d'aussi énorme. La grande finale, la dernière, du moins je l'ai vu comme ça. Avoir seulement repensé un peu, je l'aurais vu autrement, mais il était déjà trop tard pour revenir en arrière. Rien ne pourrait effacer le fait que nous avons accepté cette mission. Le big Boss, Big Bad Wolf. Qui aurait cru que j'aurais condamné mes parents, qui auraient cru qu'on y aurait presque laissé notre peau. J'aurais pu perdre mon sang froid, mais j'ai tout fait pour finir cette sacrée mission. Tout ce que je voulais c'était survivre. Survivre. Survivre. Le seul mot qui vivait dans mon esprit. À ce moment-là, ma vie ne tenait qu'à un fil et je n'étais encore qu'un enfant à l'époque. Ma soeur c'était pire, plus jeune. J'ai tout fait pour le tenir loin de ma soeur, si l'un de nous devait survivre, c'était elle, pas moi. Je me suis jeté sur lui, j'ai tout fait pour l'immobiliser et en une éclaire, il a faibli et c'est écrasé au sol me couvrant de sang. Il était mort. Je n'ai aucune idée combien de temps je suis resté fixe à le regarder, mais j'étais froid. C'était vraiment fini ou non?

Quelques heures à peine, suivant ce massacre, je me suis retrouvé enfermé en camisole blanche. Non je ne portais pas cette camisole de force, mais c'était tout comme. Vêtu de blanc, pris entre quatre murs. Depuis ce soir-là, je n'avais pas retouché à un ordinateur, ou même encore à une représentation de la technologie. J'ai passé quatre jours en silence. J'ai fixé le mur pendant tellement longtemps, sans même accepter de nourriture. C'était même devenu un défi de m'hydrater. J'avais laissé derrière moi ma petite soeur. On aurait dit que j'avais littéralement perdu la tête, qu'il n'y avait plus rien. Que je n'existais plus. Pourtant, j'étais bien là, enfoui sous ces ruines. Nous avions causé la mort de nos parents. J'avais causé la mort de mes parents. Je remettais tout sur mes épaules. J'étais l'aîné, je me devais de la protéger, de montrer l'Exemple. Je nous avais détruits. Au moment où les médecins pensaient pouvoir me laisser partir, la première crise a fait son apparition. C'était les premiers mots qui sortaient de ma bouche depuis que j'étais arrivé. J'ai envoyé deux infirmières et deux gardes à l'infirmerie. Comme si une bulle m'avait prit de plein fouet. Personne n'avait le droit de me toucher de m'approcher. Je me suis retrouvé en isolement assez rapidement jusqu'à ce que je me calme quelques semaines plus tard. Il n'y avait qu'Elle qui avait le don de me calmer. Elle lui ressemblait tellement, mais plus âgée. Elle avait une voix si calme et elle ne dégageait aucune nervosité. C'est grâce à elle que mes folies me sont passé et que j'ai pu à dix-huit ans sortir de ces quatre murs. J'ai tout fait pour me détacher de tout ça, je n'ai plus jamais vraiment retouché aux technologies, sauf peut-être les téléphones portables. Je n'ai même pas de téléviseur, ni même d'ordinateur chez moi. Pas de tentation.

Il faut croire que j'ai une réputation qui me précédait. On a cogné à ma porte, deux armoires à glace, lunettes fumées sur le bout du nez. L'un d'eux grognait et me regardait - du moins, je crois - il me jugeait du regard. L'autre attrapait par le bras pour me traîner jusqu'à la voiture. Je n'étais pas nerveux, je n'essayais pas de comprendre, je les ai suivis tout simplement. Dans la voiture, c'était silence et j'étais coincé entre les deux armoires. J'ai même pris le temps de m'allumer une cigarette. Elle n'est pas resté longtemps, jetée par la fenêtre. Quand la voiture s’est immobilisée, je me suis retrouvé au pied d'un immeuble un peu trop riche pour moi. Ma surprise fut quand tout ce silence se transforma en demande d'emploi. Je m'étais retrouvé avec un emploi, même deux, bien arrosé par un ponte plutôt bien cher payant. Je n'allais manquer de rien dans la vie grâce à lui. J'avais la chance de vider les tensions en lui servant d'homme de main. J'avais développé plusieurs capacités assez utiles avec les années. Je lui suis fidèle encore aujourd'hui et je ne bronche pas sur les ordres qu'il me donne, même si c'est de surveiller une meuf de la compagnie de cybersécurité. On pourrait dire que je suis un parfait petit chien, mais je ne m'empêche pas de vivre.

Il y a quelques mois, il y a eu cette fille qui est tombée dans ma vie. Une brunette plutôt assez animée. Tout allait bien au départ, passionnel, fusionnel, sans trop de questions. Elle m'aimait et moi de même. Puis il y a eu cette jalousie maladive qui s'est mise à me hanter et les crises ont commencé. Puis elle s'y est mise aussi en essayant de tout savoir sur moi. Pauvre Reine, qui se disait reine de mon coeur, devient son propre bourreau. Elle a animé quelque chose chez moi qui fais de moi un monstre, comme ces monstres que je chassais avant. Ce genre de monstre dont les enfants ont peur. Elle faisait tout pour savoir ce que j'étais avant. Elle ne savait rien vraiment de moi et pour moi c'était mieux comme ça. Mais elle pousse de plus en plus, cherchant à tout savoir et elle en subit les conséquences. Elle se retrouve victime de mes coups et moi des siens. Une relation vouée à l'échec, mais ni elle, ni moi semblons nous y résoudre.

Bienvenue parmi nous Alors moi je vais juste aller me cacher parce que j'ai déjà assez d'une Strauss sur le dos /sbaf/ Bon courage pour terminer ta fiche de présentation et n'hésite pas si tu as des questions

Quel bon choix de scénario
Bienvenue et bon courage pour ta fiche

Welcome here
Très très bon choix

bienvenue sur le forum

Bienvenue ^^

Bienvenue sur le forum

Bienvenue

Merci à vous !!!
Liesel t'auras peut-être pas le choix mon arc-en-ciel!

Sacha : NON MAIS QUEL BOOOMMMBBEEEEE je suis accrochée à cette nana !

Elle est magnifique hein? Si tu veux on pourra essayer de se trouver un ptit lien sympa

Ca c'est du rapide!
Bienvenue parmi nous

Bienvenue

Liesel Queen a écrit:

Alors moi je vais juste aller me cacher parce que j'ai déjà assez d'une Strauss sur le dos /sbaf/

Fear us Queen, fear us

Officiellement bienvenue bro
Hâte de voir ce que tu vas en faire - comme j'tai dit l'autre post si tu veux que j'éclaircisse certaines zones d'ombres ou si tu as des questions n'hésite pas à venir faire une occupation sauvage de ma messagerie
Ensemble on va mettre le feu à cette ville

Welcome