| | I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev | |
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Auteur | Message |
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Crédits : angel180886 Célébrité : Colton Haynes Messages : 82 Particularités : Présence RP : Régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Mer 31 Aoû - 19:38 | |
| Lev Yuri Dykhovitch « Players only love you when they're playing » Nom : Dykhovitch, un nom représentatif d'un empire déjà bien implanté en Russie qui a maintenant pour ambition de conquérir le monde Prénom : Lev, le lion russe, représentatif des hautes ambitions que ses parents ont placés en lui, Yuri comme deuxième prénom en l'honneur du père de sa mère qui est selon elle le modèle que chaque homme se doit de devenir Date/lieu de naissance : 13 Juillet 1988 à Volgograd, Russie Age : 28 ans Nationalité/origines : Russe et fier de l'être, un peu trop selon certains Statut civil : Il fréquente depuis peu une jeune femme qui ne l'intéresse absolument pas, pour faire taire une mère un peu trop envahissante Orientation sexuelle : Homosexuel qui ne s'assume absolument pas et qui se déteste, la pression familiale et les mœurs russes n'ayant pas aidé Métier/études : Maître-chien, il est l'heureux propriétaire d'une pitbull terrier dénommée Zima Situation financière : Modestement aisé, si l'on considère la fortune de sa mère Traits de caractères : Patriote, Virulent, Joueur, Cynique, Dynamique, Anxieux, Passionné, Tête Brûlée, Charismatique, TatillonGroupe : Player Niveau : DébutantAvatar : Colton Haynes Crédits : Lempika | Depuis quand es-tu sur NERVE ? Qu'est-ce qui t'a poussé à t'inscrire au jeu ? L'ennui, ni plus ni moins. Devoir recommencer sa vie à 28 ans loin de son pays, sous le joug de ses parents en prime, c'est pas vraiment l'éclate totale et comme je n'avais ni le temps ni la motivation pour rencontrer du monde à part ma copine, je me suis inscrit sur NERVE il y a une semaine, on verra bien si ça arrive à me distraire et que je vais me prendre au jeu...
Quels seraient les gains que tu aimerais remporter par-dessus tout ? De l'argent. Beaucoup d'argent. Et une putain de voiture. Un bel appart sur Red Circle. Tout ce à quoi un homme de 28 ans pourrait rêver d'avoir dans une vie de luxe, et qui était à moi en Russie. En fait, à peu près n'importe quoi du moment que je le gagne par moi-même, sans l'aide du porte-monnaie parental.
Que penses-tu des doutes planant sur le jeu ? Que les mauviettes peuvent retourner faire du tricot chez leur grand-mère et laisser les grands jouer. NERVE est pour les amateurs de frissons, de sensations fortes, si t'es pas capable d'encaisser, rentre chez toi et arrête de faire chier le monde. Et pour ce qui est du mystérieux fondateur et de ses incroyables revenus, je m'en balance tant que j'ai ce qui me revient. |
Pseudo : Jet Âge : 22 ans Fréquence de connexion : Assez régulière, une fois par jour ne serait-ce que pour se tenir au courant des nouveautés Avis sur le forum Il est super beau et vraiment bien conçu, j'applaudis le travail franchement Comment l'avez-vous connu : A cause d'une vile tentatrice qui se reconnaîtra ! (Oh et puis je balance, même pas peur, Cleona, sens toi visée.) Autre chose : Je vous aime déjà, je vous fais des bisous partout et même des cookies, mal faits mais pleins d'amour
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| | | Crédits : angel180886 Célébrité : Colton Haynes Messages : 82 Particularités : Présence RP : Régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Mer 31 Aoû - 19:38 | |
| Been there, done that, messed around « I'm having fun, don't put me down » | |
La fête bat son plein, mélange enivrant d'alcool, de fumée de cigarettes et autres produits plus ou moins licites, de lumières fluo, de corps en sueur pressés les uns contre les autres dansant au rythme d'une musique électro : la fête russe par excellence, où l'excès n'est indécent que s'il n'est pas à son apogée. Le Golden Night est plein à craquer ce soir, et je fais partie de ceux qui resteront jusqu'à la fermeture et qui continuerons bien après, usant et abusant de tout ce dont un fêtard invétéré a besoin pour s'éclater avec une bande de potes bien rodée aux plaisirs de la vie nocturne. J'étais déjà bien éméché en entrant dans le club, comme la plupart des gens autours de moi, et je ne compte pas m'arrêter là, mais pour l'instant je me laisse porter par la musique, torse nu à cause de la chaleur de la foule, dansant sans remarquer que je ne suis même plus avec mes amis. Les morceaux s'enchaînent et je suis en transe, sautant sur place au rythme de la sono, mon regard glissant d'un inconnu à l'autre, s'arrêtant plusieurs fois sur un jeune homme tout aussi torse nu que moi qui me sourit avidement. Je me laisse gagner par la tentation, mes pensées suivant un fil qui d'habitude m'est interdit. Je me demande ce qui se passerait si je me laissais approcher, là tout de suite, au milieu de tous ces gens puis je me rappelle dans un éclat de lucidité que je vaux bien mieux que ce genre de personne et fais volte-face décidant de retrouver mes amis. Sergeï est, comme à son habitude, affalé sur le bar une bouteille de bière fermement tenue dans sa main malgré qu'il soit endormi. Je le réveille d'une tape sur la tête et lui fais signe qu'il est temps de bouger. Nous retrouvons Vlad à l'extérieur en train de peloter sa troisième conquête de la soirée et fumons une énième cigarette en attendant qu'il finisse son affaire dans une des ruelles adjacentes au club. La soirée continue comme à son habitude avec une tournée des bars de Volgograd, et nous finissons tous les trois ivres morts au pied de la Statue de la Mère-Patrie, nos dernières bières servant de cendrier à notre dernier paquet de cigarettes. Ce moment là où nous avons des conversations d'un niveau philosophique que seuls les ivrognes peuvent atteindre est certainement celui que je préfère. Parce qu'on ne se prend pas la tête, parce que ce qu'on peut vraiment parler de nos vies sans avoir à se soucier d'être jugé, les inhibitions tombées depuis plusieurs heures déjà. C'est dans ces moments là que je réalise que même si ma vie n'est pas parfaite, je ne la changerai pour rien au monde. Je serais toujours là dans dix ans, soûl avec mes deux meilleurs amis, au pied de cette même statue qui symbolise une des plus grandes victoire de ma patrie, dans cette ville qui a toujours été ma maison. Je suis loin de me douter qu'en rentrant avec le premier bus ce matin-ci, ma petite vie bien comme je l'aime va prendre un des pires tournants qu'elle ait jamais connu. Parce qu'à l'inverse de ce qui se passe généralement quand je rentre aux aurores sans même avoir décuvé, mes parents m'attendent dans notre énorme salon, l'air encore plus sérieux que d'habitude. Je m'attends à un sermon de ma mère sur le fait de me conduire comme un gamin en rut sans vrai travail, sans copine et sans appartement à lui, mais c'est une variante bien pire de ce même discours qui me tombe dessus : nous quittons Volgograd pour nous installer à Lowells, au Royaume Uni, parce que ma mère veut profiter de l'essor de la ville pour faire rentrer son entreprise florissante en Russie sur la scène internationale, et parce que ce sera l'occasion pour moi de devenir un adulte responsable et de prendre un nouveau départ et remettre ma vie sur les rails. Je proteste, sachant pertinemment que ça ne sert à rien et me résigne quand ma mère se lève et se dirige vers la porte d'un air qui signifie que la discussion ne l'intéresse plus et est désormais close. Je lâche plus fort que voulu un malencontreux 'Menya eto zaebalo' qui me vaut un soufflet sur la tête de la part de mon père, suivi d'un commentaire amer sur mon langage vulgaire qui n'aura pas sa place là où nous allons, de même que le russe qui est désormais proscrit pour faciliter notre intégration. Voilà, comment une soirée parfaite s'est terminée en cauchemar duquel je ne me suis toujours pas réveillé...
Voilà maintenant six mois que je me réveille chaque matin dans cette maison minable sur Morning Hill, persuadé que ce n'était qu'un long et pénible mauvais rêve, pour finir déçu de retrouver la morne réalité anglaise qui est désormais la mienne. Si pour mes parents, ce déménagement était l'idée du siècle et a en effet boosté leur compagnie, on ne peut pas dire que la prédiction concernant mon brillant futur se soit révélée très exacte : en une demie année, je ne me suis fait aucun ami digne de ce nom, je ne me suis pris d'affection ni pour la ville, ni pour les gens qui l'habite, ni pour ce pays stupide et son temps calamiteux. En clair, le seul aspect de ma vie qui vaille la peine d'être vécu, c'est mon travail de maître-chien qui énerve ma mère au plus haut point parce que ce n'est selon elle pas digne d'un homme de la lignée des Dykhovitch, ce qui le rend donc trois fois plus intéressant pour moi, et ma chienne, Zima, le grand amour de ma vie que j'ai adopté peu après mon arrivée parce qu'il me fallait bien une distraction, qu'elle est un rappel constant de mon métier à ma mère et que mon père ne supporte pas les bêtes. Une pierre, deux parents. Je me lève donc, aussi motivé qu'un bagnard dans un goulag, et m'échappe de la maison sans être remarqué pour aller au travail. Je fais mon maximum pour repousser l'heure à laquelle je vais devoir rentrer et faire face aux critiques de mes géniteurs, bien qu'absolument rien dans cette ville ne soit suffisamment intéressant pour me distraire. Ce n'est que vers 19h que je rentre à reculons au domicile familial, pour trouver mes parents à la cuisine, s'engueulant sur un sujet complètement anodin. Comme à mon habitude pour jeter de l'huile sur le feu, je lance un tonitruant 'Privet' avec l'accent le plus russe possible. Les voir me jeter des regards furieux en réaction à ma défiance de l'interdiction du russe même à la maison est probablement mon seul et unique vrai passe-temps, ce qui est d'ailleurs assez triste quand on y pense... Je les aide tout de même à faire la cuisine et mettre la table, en écoutant d'une oreille distraite ma mère se plaindre de NERVE, dont nous avons encore reçu un flyer publicitaire. Je peux comprendre l'engouement des gens pour ce jeu, et j'ai même songé à m'y inscrire plusieurs fois, mais étant persuadé que mon retour à Volgograd ne devrait plus tarder, je n'ai jamais sauté le pas. Ce qui n'a absolument aucun sens, en revanche, c'est la révulsion de mes parents pour ce nouveau phénomène de mode alors qu'il est la raison même de notre venue ici et de l'essor de leur compagnie, comme beaucoup d'autre depuis environ un ans. Mais encore une fois, peu de choses sont logiques avec eux, et j'ai depuis longtemps arrêté d'essayer de comprendre.
Le repas se passe sans accroc jusqu'au dessert, où ma mère décide une nouvelle fois d'aborder son nouveau sujet favori : Johanna, ma petite amie officielle. Elle me parle de concrétisation, de mariage, et quand l'envie lui prend, de petit-enfants, parce que 'Lev, tu commences à avoir l'age de penser à ce genre de choses, il faut que tu deviennes quelqu'un de respectable et une femme de bonne famille est la solution que tu attendais et...' Voilà la rengaine qui dure maintenant tous les soirs, depuis deux mois. Ce que ma mère ignore, c'est que je n'ai commencé à sortir avec cette fille que pour qu'elle me lâche avec ses histoires de mariages arrangés. Pour moi, Johanna n'est qu'un modèle grandeur nature de Barbie, avec juste le niveau de stupidité qu'il faut pour ne pas voir que je ne suis rien d'autre qu'un fils à papa qui la mène en bateau, mais pas assez pour me faire honte. Et puis, elle est le stéréotype vivant de la fille superficielle centrée sur elle-même mais qui a besoin d'un homme pour se supporter et est assez docile pour faire ce qu'on lui dit. Je sais pertinemment que je me conduis comme le dernier des abrutis, mais au point où j'en suis, je ne suis plus à ça près. Sauf que ce soir, la discussion se fait plus pressante, et le ton monte rapidement entre moi et ma mère concernant la prochaine étape logique de la relation, jusqu'à ce que je décide d'aller prendre l'air. Je ne suis jamais sorti tard à Lowels, parce qu'il n'y a pas de plaisir à sortir seul, mais il faut bien un début à tout et ce soir, je décide de faire honneur à Sergeï et Vlad et me dirige vers le bar le plus prof pour me soûler jusqu'à ce que coma éthylique s'en suive. C'est le schéma classique du pauvre type qui noie ses problèmes dans l'alcool, mais ce soir, c'est exactement ce qu'il me faut. Après quelques shots de vodka, je sens le flot de mes pensées commencer à prendre un tournant inhabituel, signe que l'alcool fait bien son travail. Je lève un verre à mes deux amis et souris béatement en regardant les gens dans le bar. D'une des tables où un groupe d'inconnu rit bruyamment, je croise le regard d'un jeune homme qui me retourne mon sourire, et après quelques secondes d'échange silencieux, décide de me rejoindre au bar. Je ne sais pas exactement comment je suis sensé réagir, tout ce que je sais c'est qu'il a un corps absolument parfait, et des yeux magnifiques. Il s'assoit sur le tabouret à côté du mien, et me dis des mots que je n'entends pas, perdu dans ma contemplation. Ce n'est que lorsqu'il touche ma main que je retourne à la réalité, comme électrocuté par le contact de sa peau sur la mienne. Je me rends compte du chemin sur lequel je m'étais engagé et, révulsé par cette situation anormale et obscène, lui décoche un crochet en plein dans la mâchoire. Après ça, tout s'enchaîne assez rapidement, ses amis se précipitent, je me prends et délivre plusieurs coups et avant que je ne réalise quoi que ce soit, je me retrouve à plat ventre sur le trottoir, le nez pissant le sang. Excédé par la tournure des événements, je rentre tant bien que mal en titubant jusqu'à chez moi, fulminant contre tous les responsables des malheurs de ma vie, de mes parents en passant par Johanna et les espèces de raclures du bar. Je repense à Volgograd, où tout était plus simple, et maudit une nouvelle fois ma mère pour nous avoir égoïstement traînés ici, mon père et moi, les rouages de mon cerveau surchauffant pour trouver une vengeance assez grosse pour elle. J'arrive à la maison et manque de m'étaler sur le chemin de la cuisine, le flot de sang coulant toujours, ininterrompu. Je me nettoie comme je peux, ma vision brouillée par l'alcool n'aidant pas vraiment. Je me dirige vers les escaliers quand quelque chose retient mon attention, là, posé sur le comptoir : le flyer pour NERVE, ses couleurs criardes impossibles à manquer même dans mon état d'ébriété. Je sens un sourire mesquin passer sur mon visage, m'empare du flyer en le broyant dans ma main et rampe jusqu'à ma chambre où j'allume mon ordinateur portable dernier cri. Je me déshabille en attendant que les diverses pages se chargent et fini par arriver sur la page d'inscription de NERVE. Je fixe mon écran, une petite voix me soufflant de ne pas faire ce que je m'apprête à faire, aussitôt balayée par le grondement de ma colère qui me pousse à défier une nouvelle fois mes parents en m'inscrivant sur ce jeu qu'ils considèrent comme une aberration et un des nombreux signes de décadence de la jeunesse. Parfait, maman, papa, je dois m'intégrer ? Quoi de mieux que le nouveau jeu à la mode pour me faire des tas de relations et découvrir Lowels de fond en comble ? Ma dernière lueur de conscience me sert à finaliser mon inscription en temps que joueur, et je m'effondre sur mon lit, endormi avant d'atteindre l'oreiller, mes dernières pensées allant ironiquement au jeune homme du bar, avant que je lui brise la mâchoire...
Voilà, comment il y a deux semaines, je suis devenu un membre de la communauté NERVE. Je ne suis pas certain de ce qui m'attend, mais quelque chose me dit que je ne vais pas m'ennuyer.
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| | | Crédits : morfine (ava) Célébrité : Dave Franco Messages : 133 Personnalités : Oscar le nouveau testiculé Présence RP : 7/7 sur le forum, variable en RP Je suis : un voyeur qui voudrait épier
| | | | | | | | Crédits : Blondie ~ neondemon Célébrité : Lily Collins Messages : 281 Personnalités : Lilith Swanson Particularités :
« They say crazy shit and we make it happens. Deal with it. »Présence RP : {3/7 jours} 0/4 ~ Waël, Liesel, Dylan, (Lev) Je suis : un voyeur qui voudrait épier
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Mer 31 Aoû - 19:44 | |
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| | | Crédits : paper.moon & tumblr Célébrité : Kendall Jenner Messages : 261 Particularités : Présence RP : 0/4 : overbookée Je suis : en marge de la folie furieuse de NERVE
| | | | Crédits : angel180886 Célébrité : Colton Haynes Messages : 82 Particularités : Présence RP : Régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Mer 31 Aoû - 23:43 | |
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| | | Crédits : Cranberry / tumblr Célébrité : Hottie Watson Messages : 155 Personnalités : Solitaire Particularités :
«i don't pay attention to the world ending,
it had ended for me
many times
and began again in the morning.. » Présence RP : régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Jeu 1 Sep - 1:59 | |
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| | | Crédits : ©faust Célébrité : sky ferreira Messages : 97 Personnalités : Petit lapin blanc ou bien fillette perdue ou encore fantôme du système - ça dépend des gens, ça dépend des jour, ça dépend...ça dépasse. Particularités :
Don't follow the White Rabbit Présence RP : open Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Jeu 1 Sep - 3:37 | |
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| | | Crédits : (c) eylika Célébrité : Chloe Norgaard Messages : 786 Personnalités : Que moi ♥ Particularités :
Sharpened by hate.
Strengthened by love. Présence RP : J'ai eu les yeux plus gros que le ventre. Je suis : un voyeur qui voudrait épier
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Jeu 1 Sep - 10:03 | |
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| | | Crédits : angel180886 Célébrité : Colton Haynes Messages : 82 Particularités : Présence RP : Régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Jeu 1 Sep - 18:33 | |
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| | | | Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Jeu 1 Sep - 18:41 | |
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| | | Crédits : effet mer. Célébrité : Daniel Bederov Messages : 151 Personnalités : Cameron, uniquement. Présence RP : Disponible Je suis : en marge de la folie furieuse de NERVE
| | | | Crédits : angel180886 Célébrité : Colton Haynes Messages : 82 Particularités : Présence RP : Régulière Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : débutant(e)
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Ven 2 Sep - 11:30 | |
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| | | Crédits : IðUNИ Célébrité : Rami Malek Messages : 131 Particularités : Présence RP : 5/7 Je suis : un joueur qui a envie de jouer Ainsi que : intermédiaire
| Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev Ven 2 Sep - 23:44 | |
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| | | | Sujet: Re: I'll tell you my sins and you can sharpen your knife ж Lev | |
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